• Loup, mort, frère, sang. Ces 4 mots tournaient en boucle dans ma tête. Un rêve étrange revenait comme chaque nuit me hanter. J'étais debout au milieu de corps sans âme et vidés de leur sang, des larmes dévalaient de mes joues. La ville dans laquelle j'habite actuellement était en feu, un jeune homme se dressait au centre des flammes, le collier que mon père m'avait interdis d'enlever, comme quoi si j'avais le malheur de l'enlever une malédiction s'abattrait sur moi, dans les main et avait un regard vide, mais il m'était familier. Il me parlait mais le bruit des flammes et des bâtiments qui s'écroulaient couvrait ses paroles.

    La fumée me fit perdre la vue et je tombai de tout mon long sur le sol qui,soudain, se transforma en eau. Je ne parvenais pas a trouver la force de remonter à la surface et je me laissai emporter au plus profond des océans.

    *

    * *

    Je me réveille en suffocant, ne sachant plus reprendre ma respiration après ce moment en apnée. Je vérifia que mon collier soit bien a sa place sur mon cou et tendit l'oreille pour savoir si mes deux amie dormais encore. Le léger ronflement que portais le vent à mon oreille me fit comprendre que Shiro et Mayko dormaient profondément. Je sortis discrètement de la chambre pour réfléchir un peu a mon rêve de cette nuit. Il était plus que bizarre car:

    -1 j'ai la phobie des canidés depuis le jour où, alors que j'avais sept ans, j'étais dans un zoo et qu'un loup ma sauté dessus comme si j'étais sa proie et, même si le gardien a assuré au directeur que les loup ne faisait jamais ça d'habitude il s'attaquait entre eux mais jamais au humain, maintenant, ils me font trop peur.

    -2 je n'ai pas de frère vu que je suis fille unique et je ne pourrai jamais en avoir car mes parent sont morts quand j'avais 4 ans, un jour que le bâtiment a pris feu, et à part mon oncle, ma tante, et moi, tous les autres ont brûlés . je ne m'en souviens pas mais c'est mon oncle et ma tante qui me l'ont dit.

    -3 Je ne peux pas mourir car je n'ai que 15 ans et je ne compte tuer personne.

    -4 Mon rêve me paraît tellement réel que je sent encore la fumée me piquer la gorge et la chaleur des flammes sur ma peau.

    Je suis certaine d'un chose, mon rêve a, d'une manière ou d'une autre, a voir avec la mort de mes parents. Un vent frais m'apporte toute sorte d'odeurs et de bruits qui me tirent de mes pensées, je suis toujours dans l'allée qui mène au dortoirs du lycée Koto tsuri, c'est un lycée ordinaire, mise a part quelque chose ou plutôt quelqu'un : MOI !!!

    Je m'appelle Tsukima Aisu qui signifie « lune de glace », mes parent m'ont appelé comme ça car j'ai toujours eu des yeux bleus qui me donnent un regard froid et même avec ce regard il me trouvait belle comme la lune et m'aimaient tel que j'étais.

    Je passe devant ma salle de classe qui est tous se qu'il y a de plus banale. En cours, Kiojakuna et ses acolytes ne font que de me chercher des noise et je me suis promis qu'un jour je leur rendrait la monnaie de leur pièce. Bref... Ma vie est un véritable enfer. Pourtant, j'ai le sentiment, qu'un jour, tous va changer. Une branche d'arbre craque juste derrière moi. Je me retourne et voit Shiro et Mayko qui me suivent sur le chemin de pierre qui longe le bâtiment principal.

    Mais que faites-vous ici ? »

    On pourraient te poser la même question Tsuki. », ronchonna Mayko comme a son habitude. 

    Allons May il ne faut pas lui en vouloir tu voudrais qu'on t'espionne toi ?s'indigna Shiro, désolé, on ne voulait pas te faire peur. On…te... cherchait parce que... tu n'était plus dans la chambre et... ça nous a inquiéter.

    Pourquoi vous me suivez tout le temps c'est vrais quoi même avent que l'on se connaisse vous me suiviez ou que j'aille, pourquoi ? Dit-je agacer de ne plus avoir de vie privé.

     May allait me répondre. Soudain, une ombre me fonça dessus tellement vite que je n'eut même pas le temps de l'esquiver. L'ombre m'arracha mon collier et je tombai sur le muret, ce qui me fit perdre connaissance. Le noir m'enveloppa et je refit ce rêve étrange avec le garçon qui avait mon collier et le feu qui avalait tout. Mais, cette fois, j'entendais se qu'il disait : « Le masque et tombé, tu dévoile enfin ton véritable visage, celui de la haine, celui du malheur ». Il laissa tomber le collier et disparu.


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